A l’heure où François Chérèque passe la main à son successeur, François Fillon tient à saluer le parcours d’un syndicaliste loyal et innovant, ferme sur ses convictions mais toujours stimulant et constructif. François Chérèque a incarné avec courage un syndicalisme de propositions, où la lucidité et le sens du compromis peuvent être une force pour défendre les intérêts des salariés et des Français.
François Fillon tient à rappeler le rôle déterminant de François Chérèque lors de la réforme des retraites de 2003, négociée ensemble. Malgré la pression et les attaques dont François Chérèque fut alors la cible, il se souvient du courage d’un homme qui dit sa vérité et qui agit pour elle au nom de l’avenir de la solidarité. L’histoire sociale de notre pays doit beaucoup à François Chérèque, lui qui sut, dans ses combats comme dans ses compromis, donner ses lettres de noblesse à l’engagement syndical.
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