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L’ouverture. Une exigence de notre génération, des Jeunes actifs.
L’ouverture. Un trait de caractère de François Fillon mis au service d’un grand parti politique, l’UMP, et d’une grande nation, la France.
Cette qualité d’ouverture permet de s’affranchir de bon nombre de petits calculs pour se concentrer uniquement sur une mission : celle de l’intérêt général, de l’intérêt supérieur de notre pays et de la mise en ordre de bataille de l’UMP pour préparer la reconquête des territoires perdus et le redressement national.
Trait de caractère qui découle aussi de l’épreuve des faits, celle d’une carrière politique toute entière tournée vers l’ouverture et le rassemblement.
Pour Laurent Wauquiez, les cinq années que François Fillon a passées à Matignon « lui ont forgé une incontestable stature d’homme d’État (…) il est aussi celui qui peut faire la synthèse entre les approches de notre famille politique ».
L’ouverture, comme celle que François Fillon, attaché depuis toujours à une éthique de transparence, avait engagé à Matignon en créant début 2011 une mission Etalab chargée sous son autorité d’ouvrir l’ensemble des données de l’Etat.
Cette ouverture est également présente pendant la campagne interne « Je tendrai la main à tous les candidats », a-t-il dit le premier. Comme aime à le rappeler François Fillon : « Je ne suis candidat contre personne ».
Hier soir encore, lors du débat télévisé, interrogé sur son comportement en cas de retour de Nicolas Sarkozy, François Fillon a donné une belle leçon d’ouverture, d’habileté et de grandeur.
François Fillon nous annonce ainsi que « sa réponse va être un peu différente » de celle de son concurrent dans cette campagne pour nous expliquer que »Je pense que la question de 2017, ce n’est pas la question de Nicolas Sarkozy. Ce n’est pas la question de François Fillon, ce n’est pas la question de Jean-François Copé, c’est la question de la France… »
Avant de reprendre : « Est-ce que nous allons être en mesure, et je souhaite qu’on le fasse dès maintenant, est-ce qu’on va être en mesure d’incarner un espoir dans un pays qui risque de glisser vers une crise sociale, une crise politique ?… »
« Le moment venu, je serai avec celui qui aura le plus de chance de faire gagner notre famille. Si c’est Nicolas Sarkozy, c’est Nicolas Sarkozy, si c’est Jean-François Copé, hé bien je serai avec Jean-François Copé. Mais si c’est moi, j’espère que Jean-François Copé sera avec moi ! ».
Ouverture comme trait de caractère, tant le jeu des divisions et attaques personnelles ne font pas parti du logiciel interne de François Fillon
Ouverture comme projet pour notre mouvement, tel qu’il le conçoit au service des militants, à notre service.
Avec un réseau social militant qui nous permettra d’échanger librement entre nous, entre cadres, élus et adhérents.
Avec la transparence qu’il mettra en œuvre dans notre parti, transparence d’un homme politique qui n’a rien à cacher et qui fera de l’UMP « une maison ouverte ».
Avec un statut du sympathisant qui ouvrira l’UMP sur l’extérieur.
L’ouverture dans l’unité de notre mouvement « pour créer de la cohérence, il faut de la liberté d’expression mais aussi une ligne ».
L’ouverture, que décidément nous appelons de nos vœux avec François Fillon.
Le 18 novembre, les Trentenaires voteront François Fillon.
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