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En tant de jeune élu du Département des Alpes-Maritimes, je suis admiratif devant une qualité qu’incarne François Fillon : le courage.
Le courage de l’action et de la fermeté. Celui dont il a fait preuve pour tenir le cap que le capitaine du bateau, Nicolas Sarkozy, avait fixé avec lui pour réformer la France. Parce qu’il en a fallu du courage pour tenir bon dans un contexte de crise économique sans précédent. Ce courage dont il fait preuve tout au long de sa carrière politique, en menant toutes les réformes jusqu’au bout, sans jamais plier ni renoncer, y compris celles difficiles et impopulaires, comme celle des retraites ou de France Télécom.
Ce qui me plait en lui, c’est qu’il a également toujours eu le courage de tenir un discours de vérité. Ce discours de vérité, ce discours de responsabilité, est pour moi en tant que jeune élu, un discours d’espoir car il démontre que lorsque l’on a la clairvoyance, la capacité d’analyser et de dire la situation dans laquelle se trouve la France, nous avons en nous les clefs pour éclairer les Français sur les vrais enjeux et les solutions pour recréer les conditions du redressement de notre pays.
Ce courage d’un discours de vérité que tient François Fillon est celui aussi qui s’éloigne des facilités de langage, des slogans médiatiques, des phrases toutes faites pour plaire, le temps d’une élection, à une petite catégorie.
Ce courage, cette capacité d’explication, cette pédagogie, François Fillon l’a en lui.
François Fillon a le courage d’élever le débat. Savoir rassembler les Français derrière ses convictions, ses valeurs, est essentiel dans ces moments de turbulences que nous traversons. Cela ne peut se faire qu’avec hauteur de vue et pragmatisme.
Le courage c’est ainsi aussi celui de l’exemplarité dans la façon de mener le débat politique. L’exemplarité dans le refus de ce qui est inacceptable, la démagogie et la malhonnêteté intellectuelle dans lesquelles trop souvent encore les responsables politiques de gauche ou des partis extrêmes tombent pour plaire à leurs électeurs. L’exemplarité dans la lutte contre les communautarismes et tout de ce qui déchire notre pacte républicain, où la fermeté de François Fillon et d’Eric Ciotti, son directeur de campagne, ne sont plus à démontrer.
C’est bien également dans cet esprit que j’ai décidé de m’engager derrière son directeur de campagne, Eric Ciotti qui a cette même vertu politique, n’hésitant jamais pas à prendre des positions fermes et contraires à la pensée dominante. Et c’est bien en tenant des propos fermes mais dignes comme François Fillon et Eric Ciotti savent si bien le faire, que nous pourrons lutter contre cette tyrannie de la pensée de la gauche.
Votons dimanche 18 novembre pour François Fillon et son équipe pour rassembler avec courage et dignité les Français et gagner les prochaines batailles électorales.
Jérôme Viaud
Conseiller Général des Alpes Maritimes
Responsable des Jeunes actifs des Alpes Maritimes
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